lundi 7 mars 2011

Home sweet home



Mi-février, Gabriel et Victor ont courageusement entrepris un voyage de plus de 15 heures en voiture pour m'amener... mon Bichoune ! Muni de son passeport et de tous ses papiers, le chat a visiblement très bien supporté le voyage (mieux que ses deux accompagnateurs en tous cas, qui étaient exténués) et il s'est rapidement adapté à la vie anglaise. Il ne sort pas beaucoup pour le moment, mais il fait encore assez froid il est vrai, sans compter qu'il lui faut un peu de temps pour s'habituer complètement à son nouvel environnement. Par ailleurs, profitant de la présence des garçons avec la voiture, j'ai pu terminer l'équipement de la maison.


Ils m'ont monté une nouvelle étagère dans le salon. J'avais également trouvé un rideau (dans le coin gauche) pour cacher le renfoncement dans lequel je range tous mes cartons.

J'ai pu enfin acheter un fût à compost (énorme engin !).

Un meuble à chaussures, très important.

Gabriel m'a également ramené quelques meubles de Paris : une table basse, quelques tabourets et ustensiles. (Notez aussi ma jolie pendule rouge, au fond, au-dessus du canapé.)

Une nouvelle table de nuit (à gauche) est venue remplacer le carton que j'utilisais avant.

Enfin, les hommes m'ont monté des étagères dans la chambre, pour y ranger les livres qui commençaient à s'accumuler.



Parallèlement, j'ai assisté aux premiers pas de Bibiche dans sa nouvelle maison. Il a beaucoup observé l'extérieur à travers la fenêtre.

Il a un peu hésité...

Mais il s'est vite senti à l'aise !

J'avais peur que le voyage ne le traumatise à jamais...

Je me trompais heureusement :-)

Quinze jours après son arrivée, je partais une dizaine de jours au ski, en France. Là il a un peu stressé de voir sa cage et sa caisse dans le salon (je les avais sorties pour les personnes qui sont venues s'occuper de lui, plusieurs fois par jour s'il vous plaît), mais il a vite retrouvé sa sérénité. Lizzie et Chris ainsi qu'Angeles, ma voisine et collègue, se sont occupés de lui avec le plus grand dévouement. Il était tout de même visiblement soulagé de me revoir. Courage Bichoune, la prochaine fois je partirai moins longtemps, et ce n'est pas avant 6 semaines !

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